Les élixirs floraux montrent une efficacité certaine dans les soins portés aux animaux. On constate même une action plus rapide dans l’harmonisation et une stabilisation plus durable que chez l’homme.
En effet, les animaux, comme les humains, sont des êtres doués d’âme, donc de sensibilité et d’émotivité. Ils ont un caractère et un comportement plus ou moins individualisés en fonction de leur proximité avec l’homme. Ils ne possèdent pas, ou alors à un degré moindre, un mental ou un intellect qui, chez l’homme, fait parfois obstacle ou résiste à la subtile activité des élixirs floraux.
L’expérience et l’observation de vétérinaires, d’éleveurs, de personnes proches des animaux permettent de constater combien les événements émotionnels, les déséquilibres du comportement chez l’animal sont en lien étroit avec les pathologies physiologiques qu’il développe. Il sera donc judicieux, lorsqu’une maladie s’installe, de s’intéresser à son comportement, à son environnement, à son état psychique, et d’accompagner le traitement par le soutien d’une cure d’élixirs floraux.
Il est évident que si l’on ne change pas le cadre de vie ou les causes émotionnelles ayant généré la maladie, l’élixir trouvera là ses limites thérapeutiques.
Conseils d’utilisation
A titre indicatif et sachant qu’il n’y a pas de règle stricte :
En traitement de fond, on conseille 4 prises par jour. Pour traiter une perturbation émotionnelle momentanée, rapprocher les prises jusqu’à l’apaisement.
Il est inutile d’augmenter la dose.
Petits animaux ou nouveaux-nés, jusqu’à quelques semaines : 2 gouttes par prise.
Animaux de la taille du chat ou du chien : 4 gouttes par prise.
Grands animaux jusqu’à la taille d’une vache ou d’un cheval : jusqu’à 10 gouttes par prise.
En cas de consultation, privilégier avant tout la prescription du vétérinaire.
Idéalement, il est bon que l’animal absorbe par voie orale les élixirs floraux soit en mettant quelques gouttes dans son eau de boisson, ou sur un morceau de pain, soit en les mélangeant à sa nourriture. Mais il peut arriver que l’animal soit sensible à l’alcool contenu dans l’élixir et rechigne à l’absorber. Ne jamais le forcer : il faut éviter tout stress supplémentaire à l’animal que l’on veut soigner. Il faudra alors user de stratagèmes : déposer quelques gouttes à même le poil ou la peau près de la zone buccale, ou sur les pattes ; l’animal, en se frottant, finira par en absorber.